Démocratiser le private equity : et si le défi était aussi culturel ?
Démocratiser le private equity, c’est aussi changer la culture financière : mieux expliquer le non coté, ses risques, son horizon de temps. Dans cette tribune avec Capital Finance, Pams plaide pour plus de pédagogie et de transparence auprès des épargnants.

Tribune réalisée avec Capital Finance sur un angle clé : la démocratisation du private equity ne se joue pas seulement dans les produits, mais aussi dans la culture financière des épargnants.
Longtemps réservé aux investisseurs institutionnels, le private equity commence à s’ouvrir au grand public. Nouveaux véhicules, distribution via les réseaux de gestion de patrimoine, évolution réglementaire… Les briques techniques se mettent en place, mais un autre sujet reste souvent sous-estimé : la dimension culturelle.
Dans cette tribune publiée sur le site de Capital Finance, Pams analyse pourquoi le non coté demeure perçu comme complexe, lointain ou réservé à une élite, et ce que cela implique pour les épargnants. Compréhension du risque, horizon d’investissement, rôle de l’illiquidité, confiance dans les acteurs : autant de thèmes abordés pour montrer que la démocratisation du private equity passe aussi par plus de pédagogie et de transparence.
Pams y partage sa conviction : accompagner les épargnants dans le temps, expliquer le fonctionnement des fonds et relier le non coté à l’économie réelle sont des conditions essentielles pour que cette classe d’actifs trouve pleinement sa place dans les allocations.
👉 Découvrir l’analyse complète sur le site de Capital Finance : « Démocratiser le private equity : et si le défi était aussi culturel ? »
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